MON PARCOURS ÉQUESTRE

Cavalier professionnel de CSO jusqu'en

PRO1

nationaux, internationaux & jeunes chevaux

Enseignant d'équitation

BPJEPS

et de multiples autres casquettes, outils

Plus de

1000

élèves amateurs & professionnels accompagnés

Je débute l’équitation à 10 ans, assez peu confiant, mais les chevaux deviennent mes thérapeutes.

Je deviens cavalier professionnel de saut d’obstacles à 17 ans. Je fais alors les épreuves CSO Pro2, Juniors, et commence à travailler avec Pascaline L. qui m’initie à l’éthologie et la méthode Alexander. J’y découvre l’usage de la respiration et de l’imagerie mentale.

Je rencontre aussi Michel Robert sur un concours et ai la chance d’aller en stage dans ses écuries, ce qui marquera mon équitation à vie.

Débuts à cheval

Après mon bac, à 18 ans, je pars en Belgique au Haras de Ste Hermelle pour être cavalier jeunes chevaux (je fais les boxes et groom plusieurs mois avant de monter en concours).

Je pars ensuite en Suisse dans les écuries de la famille Etter, grande écurie de commerce. Il y avait 150 chevaux et de talentueux cavaliers. J’y commence les épreuves Pro 1 et jeunes cavaliers.

Très vite, je doute et me demande pourquoi je fais ça.

Sur la route équestre

Je décide alors de passer mon monitorat et de m’installer à mon compte en louant une structure. Je m’épanouis de pouvoir prendre le temps, faire les choses à mon rythme et celui des chevaux, selon ma méthode.

Je découvre en parallèle la biomécanique avec Régis Villain (méthode Dr Pradier) et l’équitation type “hunter” à l’américaine avec Marie Hécart pour qui j’ai la chance de monter des chevaux.

Indépendance équestre

J’ai ensuite l’opportunité de perfectionner ma technique équestre aux côtés de Nicolas Paillot, toujours dans une équitation à l’américaine en équilibre et discrète.

Je monte alors de très bons chevaux en CSI 7 ans et classiques jeunes chevaux.

Le doute est toujours là : je me dis que je ne mérite pas tout cela (complexe de l’imposteur) et me demande pourquoi nous faisons cela avec les chevaux.

Je découvre alors la sophrologie pour m’aider mentalement en concours.

Grande chance, merveilleux chevaux

Malgré ces bons chevaux et des propriétaires sympathiques, je reste tiraillé entre le plaisir des sensations équestres et mes questionnements éthiques ; je décide d’arrêter à l’âge de 25 ans.

À la reconnaissance d’un parcours, ou en observant des cavaliers monter, je me disais souvent : “Pourquoi fait-on cela ? C’est étrange : un animal monte sur un autre animal avec une barre de fer dans la bouche.”

Sans compter la violence trop souvent observable par manque de connaissances et gestion de Soi.

Reconversion & prise de conscience

S’en suit une reconversion dans le luxe, une reprise d’études de commerce, des expériences en management d’équipes, gestion de projets, formation et coaching avant de devenir entrepreneur.

Je continue à monter et enseigner sur mon temps libre.

En parallèle, j’expérimente des thérapies variées pour mieux me comprendre et transformer mes freins, puis me forme à différentes méthodes thérapeutiques pour pouvoir, à mon tour, aider les autres.

Autre chapitre & nouveau monde

Aujourd’hui formateur, coach et sophrologue, j’ai créé la méthode Sophro-Équitation pour allier technique équestre académique, sophrologie et développement personnel.

J’enseigne aux cavaliers et forme des enseignants à la méthode.

On peut définir la Sophro-Équitation comme une équitation thérapeutique et technique, une méthode holistique (systémique, globale) puisqu’elle travaille à l’interdépendance du corps, du mental, des émotions et de la technique.